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L'OR NOIR

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1 juillet 2008

Pétrole: Sommet à Madrid

Le baril de pétrole a battu hier un nouveau record, à New York, à 143,67 dollars, tandis que se déroulait la deuxième journée du 19e Congrès mondial du pétrole, inauguré dimanche à Madrid, la capitale espagnole.

Comme tous les trois ans, près de 4000 personnes, hommes politiques ou dirigeants de compagnies pétrolières, sont réunis pour « analyser les défis, les tendances et les différents aspects liés à l’avenir de l’industrie pétrolière ». L’enjeu est d’autant plus important que le sommet de Djeddah, en Arabie Saoudite, s’est soldé la semaine passée par un échec, les pays producteurs et consommateurs n’étant pas tombés d’accord sur les causes de la crise actuelle. Jusqu’à jeudi, les discussions porteront sur la sécurisation des approvisionnements mondiaux, l’équilibre entre l’offre et la demande, l’évaluation des réserves et les raisons de l’envolée des cours. Le rôle du raffinage devrait être évoqué mais pas celui de la spéculation, pourtant largement dénoncée. Dans ce contexte, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) envisage un baril à 170 dollars cet été.

Source : « DirectMatin », 01 Juillet 2008

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23 juin 2008

Pétrole : seule l’Arabie accepte de faire un geste…

En pleine crise pétrolière, pays producteurs et consommateurs d’or noir se sont retrouvés hier pour une réunion exceptionnelle à Jeddah, sur les bords de la mer Rouge. Traditionnelle alliée des Etats-Unis, l’Arabie Saoudite a répondu aux attentes de son grand client en confirmant une hausse de 200.000 barils de sa production quotidienne en juillet pour tenter de calmer les prix. Hier, ses dirigeants ont aussi évoqué de possibles investissements qui porteraient à terme la capacité du pays à 15 millions de barils par jour. Mais, à part le Koweït, les autres membres de l’OPEP ne souhaitent pas suivre le mouvement. Cette absence d’accord intervient alors que l’Union européenne a échoué en fin de semaine dernière, lors d’un sommet pourtant jugé crucial, à trouver des solutions pour endiguer les effets de la flambée du prix du baril.

Source : « Les Echos », Lundi 23 juin 2008

9 juin 2008

Les principales hausses internationales des prix pétroliers en 2008 (CHRONOLOGIE)

Les prix du pétrole brut ont  augmenté vendredi de plus de 10 dollars, établissant un nouveau  record, près de 140 dollars le baril. Les prix pétroliers internationaux ont connu une croissance en  flèche depuis le début de cette année, avec l'établissement de  plusieurs records. 

     Voici un historique des principales hausses internationales des prix pétroliers en 2008 :   

Influencés par les troubles au Nigeria, un des principaux  producteurs africains, les cours mondiaux du pétrole ont bondi  fortement au premier jour de cotation de 2008. 

·         Le 2 janvier : les prix ont atteint un nouveau record de 100, 09 dollars par baril (dpb) sur le New York Mercantile Exchange( NYMEX),dépassant 100 dollars pour la première fois. 

Le baril de "light sweet crude" a atteint 100 dollars en  février, battant son record précédent de 99,29 dollars, en  novembre 2007 sur le NYMEX. 

·         Le 12 mars : les prix du pétrole brut ont atteint un nouveau record de plus de 110 dollars causé par un affaiblissement du  dollar. 

Le dollar s'est affaibli tout au long de la journée, atteignant son plus bas niveau face à l'euro et attirant de nouveaux  acheteurs sur le marché pétrolier. 

·         Le 5 mai : le baril de "light sweet crude" pour la livraison de juin a atteint 120,36 dollars sur le NYMEX, enregistrant un  nouveau record d'intra-journée. 

Les assauts des troupes turques contre les refuges du Parti des travailleurs du Kurdistan le long de la frontière Iraq-Iran et les troubles au Nigeria étaient les causes principales de la hausse du prix. Le report de la solution du problème nucléaire de l'Iran a  aussi renforcé l'inquiétude sur le marché international du pétrole. 

·         Le 21 mai : les prix pétroliers ont atteint un nouveau  record de plus de 133 dollars/barrel, le baril de "light sweet crude" pour la livraison de juillet dépassant les 130 dollars pour la première  fois, enregistrant un nouveau record de 133,82 dollars. 

Un rapport publié par le département américain de l'Energie a  montré que les stocks américains de pétrole brut avaient diminué  de 5,32 millions de barils pour se chiffrer à 320,4 millions de  barils, la plus importante diminuation durant les derniers quatre  mois, contrairement aux prévisions des analystes, qui tablaient  sur une augmentation des stocks. 

·         Le 6 juin : le baril "light sweet crude" pour la livraison  de juillet a augmenté de 10,75 dollars, pour s'élever à 138,54 dpb sur le NYMEX après avoir atteint un nouveau record de 139,21  dollars plus tôt dans la journée.

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http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-06/08/content_647769.htm

22 mai 2008

Le déclin du pétrole russe alimente la crise

 

Pour la première fois depuis dix ans, la production russe d'or noir est en baisse. Ce retournement avivela flambée du brut,qui a franchi hier la barre des 130 dollars.

 Après avoir battu un record de production de pétrole l'année dernière, la Russie semble entrée dans la phase des rendements décroissants de son industrie extractive. Pour le quatrième mois consécutif en avril, le deuxième producteur mondial d'or noir a affiché un déclin de sa production. Le recul cumulé depuis le début de l'année atteint 0,3 % par rapport à la même période de l'année dernière, selon le service fédéral des statistiques. Pendant les quatre premiers mois de 2007, la production d'or noir avait augmenté de 3,6 % par rapport aux quatre premiers mois de 2006. Et en 2003 la production avait bondi de 12 % !

L'effet de la diminution actuelle, conjuguée avec l'attentisme de l'Opep, entretient la flambée des cours mondiaux qui ont pratiquement doublé en un an pour atteindre hier le nouveau record historique de 132 dollars le baril.

De fait, la Russie ne peut plus contribuer à alimenter la croissance explosive de la consommation mondiale, comme elle le faisait pratiquement à égalité avec l'Opep. L'offre russe ne permet donc plus de couvrir l'augmentation de la consommation chinoise et indienne comme elle pouvait le faire depuis le début de la décennie.

Taxer moins les exportations

Pourtant, le plus grand pays du monde dispose d'environ 80 milliards de barils de réserves, selon BP, qui contrôle la première compagnie pétrolière étrangère en Russie (TNK BP). Il est donc potentiellement capable de maintenir sa production de 10 millions de barils par jour. Mais pour cela, il lui faudrait investir 1000 milliards de dollars sur vingt ans, selon Leonid Fedum, vice-président de la première compagnie privée russe Lukoil. Un investissement qui, au prix actuel du baril, pourrait être rentabilisé. À condition que le Kremlin cesse de confisquer plus de 80% des résultats nets des compagnies pétrolières sous forme de taxation des exportations.

Au début de ce mois, Vladimir Poutine, promu nouveau premier ministre, a annoncé plusieurs projets de loi allant dans ce sens. « L'heu­re est venue de prendre la décision de baisser les impôts dans ce secteur de l'économie afin de stimuler la hausse de l'extraction et du raffinage du pétrole », a-t-il affirmé.

http://www.lefigaro.fr/matieres-premieres/2008/05/22/04012-20080522ARTFIG00325-le-declin-du-petrole-russe-alimente-la-crise-.php

22 mai 2008

Le baril de pétrole à 141 $ US d'ici 2016 ?

Les prix pétroliers pourraient atteindre plus de 141 $ US le baril au cours des huit prochaines années, selon les contrats à terme négociés à la Bourse des marchandises de New York.

Le marché craint que la croissance de l'offre ne suffise pas à répondre à la hausse de la demande.

Le prix du pétrole pour livraison en décembre 2016 a bondi de 20,09 $ US, ou de 17%, au cours des quatre dernières séances depuis que Goldman Sachs Group a estimé que le prix moyen du baril de pétrole serait de 141 $ US au cours de la deuxième moitié de 2008 en raison d'entraves à la production et de l'absence de produits de substitution.
Le prix du pétrole pour livraison en juillet a atteint, en cours de séance, un nouveau record à 133,82$US.

Cette progression, qui est plus du triple de la hausse des prix du pétrole pour livraison cet été, «correspond» à la prévision de Goldman Sachs, qui «évoquait récemment le cycle long des prix pétroliers en particulier», a indiqué hier Tim Evans, analyste spécialiste des questions énergétiques de Citi Futures Perspective, à New York.

Les géants de l'industrie pétrolière tels que Exxon Mobil, Royal Dutch Shell, BP, Chevron, Total et ConocoPhillips consacreront cette année un montant record de 98,7 milliards$US à l'exploration et à la production, soit quatre fois plus qu'il y a huit ans.

L'approvisionnement que les compagnies tirent de pays qui ne sont pas membres de l'OPEP ne satisfera qu'environ 20% de la croissance de la demande mondiale au cours des quatre prochaines années.

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080522/LAINFORMER/805220919/5891/LAINFORMER01

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22 mai 2008

Pétrole : Le cours du Brent monte à 132,31 dollars

Le cours du Brent a augmenté hier après-midi  à 132,31 dollars à Londres, alors que le Light sweed crude a baissé à 132,51  dollars après un record de 132,7 dollars à New York. Cette nouvelle hausse s'explique par la chute imprévue des stocks américains  de pétrole brut la semaine dernière. Le département américain à l'Energie (DoE)  a annoncé mercredi une baisse de 5,4 millions de barils des stocks de brut,  à 320,4 millions de barils, alors que les analystes pensaient qu'ils augmentaient.

En réaction à cette nouvelle flambée des prix, le secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), Abdallah el-Badri, a déclaré mercredi que ''les éléments non-fondamentaux sont maintenant les principaux  acteurs du marché". M. El-Badri, qui effectue une visite de travail d'une semaine au Venezuela  et en Bolivie, a réitéré que le "marché est bien approvisionné avec une hausse  des stocks dans les pays de l'OCDE au-delà de leur niveau moyen sur 5 ans". Il a également réaffirmé "l'assurance que l'Opep continuera à essayer  de stabiliser le marché pétrolier" tout en "appelant les autres parties concernées  -- les consommateurs, producteurs et investisseurs -- à coopérer pour trouver  un remède durable à cette volatilité." L'Opep continuera de surveiller régulièrement les marchés mondiaux du  pétrole, a encore ajouté M. El Badri, et elle "est prête à agir si et lorsque  cela sera nécessaire pour assurer la stabilité et un approvisionnement  approprié".

http://www.elmoudjahid.com/em/monde/7486.html?VivvoSessionId=1949bc748349a35ef5a9

9 mai 2008

La hausse des cours du baril de brut limite la production de Total

La production de Total est restée stable au premier trimestre. Ces prochaines années, elle risque de n’augmenter que de 3% par an, la hausse des prix du baril limitant les quantités que le groupe obtient avec les contrats de partage de production.

La hausse des prix du pétrole limite la production de Total. De nombreux contrats de partage de production, par exemple en Afrique, prévoient une baisse du nombre de barils cédés au groupe quand le prix du pétrole monte. Ce facteur explique en partie le recul de 3% des volumes de brut extraits par Total au premier trimestre, compensé par une hausse de ceux de gaz pour aboutir à une stabilité de la production globale. Et cet effet-prix risque de durer. Total s’est fixé pour objectif d’augmenter sa production de 4% par an entre 2006 et 2010, sur la base d’un baril à 60 dollars. Mais, avec un baril à 100 dollars, la croissance devrait être ramenée à 3%, à cause de ce mécanisme, a reconnu mercredi Robert Castaigne, le directeur financier, qui, à soixante-deux ans, quitte ses fonctions à la fin du mois.

Source : « Les Echos »,  Vendredi 09 Mai 2008

7 mai 2008

Le Brésil émerge comme un nouveau poids lourd de l’or noir

Si les premières découvertes effectuées au large de Rio de Janeiro et de Sao Paulo se confirment, le Brésil disposerait, le long de sa côte atlantique, d’une zone pétrolière qui doublerait au minimum ses réserves prouvées actuelles.

Le Brésil « émerge sur la scène pétrolière mondiale ». Il est traditionnellement un pays pétrolier de second plan, doté de seulement 12 milliards de barils de réserves prouvées.

Si la zone pétrolière se révèle à l’avenir s’étendre sur toute la côte atlantique du pays, depuis l’Etat de Espirito Santo au nord à celui de Santa Catarina au sud, « alors les 70 à 100 milliards de barils du modèle géologique originel de Petrobras seraient justifiés », note le Credit Suisse qui a emmené des investisseurs sur place début avril. Un vrai jackpot qui placerait le Brésil parmi les dix premiers pays pétroliers au monde.

« Vu les explorations à effectuer, prouver l’existence de ressources aussi vastes prendra des années », souligne le Credit Suisse. Pour l’heure, le Brésil n’a encore foré que 15 puits d’exploration et le premier puits de Carioca n’a identifié que 550 millions de barils. Eloi Fernández y Fernández, directeur général de l’Organisation nationale brésiliennne de l’industrie pétrolière, reste prudent. Il a estimé le 15 avril que les découvertes actuelles et futures faites sur la zone « pre-salt » au large de Rio et de Sao Paulo devraient « au moins doubler les 13 milliards de barils de réserves prouvées actuelles ».

Source : « Les Echos », Mercredi 7 mai 2008

7 mai 2008

L’envolée des cours du brut ravive l’inquiétude sur les marchés

La nouvelle flambée pétrolière a contribué à nourrir les inquiétudes hier. Le prix du baril de brut s’est en effet propulsé à 121 dollars, battant ainsi un nouveau record. Pour certains analystes, cette poussée de fièvre sur le front de l’or noir peut expliquer le fléchissement assez net du billet vert. La monnaie unique a ainsi pu reconquérir le seuil de 1.55 dollar en fin de séance européenne, à 1.5551 dollar (+0.39%). L’euro a même failli toucher 1.56 dollar dans le courant de l’après-midi.

Source : « Les Echos », Mercredi 7 mai 2008

6 mai 2008

Le baril de pétrole s’envole au-delà des 120 dollars

L’OR NOIR a battu de nouveaux records historiques hier. Il est monté au-delà de 120 dollars par baril, à New York, et de 118 dollars à Londres. C’est presque le double d’il y a un an. Une envolée consécutive à de nouveaux problèmes au Nigeria et en Iran, mais aussi à la volonté des investisseurs de se couvrir contre l’inflation et la baisse du dollar. En France, la facture énergétique est également repartie à la hausse. Elle est en passe d’atteindre 50 milliards d’euros en rythme annuel, du jamais vu.

Source : « Les Echos », Mardi le 6 mai 2008

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